Ospiti sant Anton
Rappelant la présence au Faou, en 1160, des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, le dernier hospice-hôpital de la ville se tenait à cet emplacement (120 m² au sol), dans une vieille maison, pour l’accueil des malades et l’entretien des pauvres.
Les hommes vivaient au rez-de-chaussée, les femmes au 1er étage.
Les jours de foire, les pauvres gardaient le plat de Saint-Antoine près de l’arc de triomphe du cimetière.
L’imprudence d’une pensionnaire causa un incendie qui ravagea la maison en avril 1933.
